La marseillaise
La marseillaise est un chant guerrier de la révolution Française, adopté depuis lors comme hymne national par la" République Française". Écrite par Rouget de Lisle en 1792 pour l'armée du Rhin suite à la déclaration de guerre de la France à l'Autriche, ses paroles consistent essentiellement en une exhoration au combat contre les"LES HORDES ENNEMIES" pour la victoire et le salut de la PATRIE. Elle a été adoptée comme hymne national Française le 14 juillet 1792
Elle fut écrite par Claude Joseph Rouget De Lisle , capitaine du génie alors en poste à Strasbourg dans la nuit du 25au 26 avril 1792 à la suite de la déclaration de guerre à l'Autriche.
JE SUIS FRANCAISE NEE A PARIS.J'AIME MON PAYS LA FRANCE DONC COMME ON ME LA APPRIS RESPECTON LA MARSEILLAISE EN PLUS EN CE JOUR.
LA MARSEILLAISE
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras..
Egorger vos fils, vos compagnes!
Aux armes citoyens
Fomez vos bataillons
Marcons, marchons
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons
Que veut cette horde d'exclaves
De trîtres, de rois conjurés?
Pour qui ces ignobles entraves
Ces fers dès longtemps préparés?
Français, pour nous, ah quel outrage
Quels transports il doit exister?
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique exclavage!
Quoi ces cohortes étrangères!
Feraient la loi dans nos foyers!
Quoi ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fils guerriers!
Grand dieu! par des mains enchaînées
Nos front sous le joug se ploireaient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres des destinées.
Tremblez, tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis
Tremblez! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix!
Tout est soldat pour vous combattre
S'il tombent; nos jeunes héros
La France en produit de nouveaux.
Contre vous tout prêts à se battre.
Français, en guerriers magnanimes
Portez ou retenez vos coups!
Épargnez ces tristes victimes
Aregret s'armant contre nous,
Mais ces complices de Brouillé
Tous ces tigres qui,sans pitié
Déchirent le sein de leu mère!
Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus
Bien moins jaloux de leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou les suivre!
Amour sacré de la patrie
Conduis, soutiens nos bras vengeurs
Liberté, liberté chérie
Combats avec tes défenseurs!
Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à tes mâles accents
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire.